Yopougon/ Après la passe: Le client oublie son arme à feu dans la chambre d'hôtel

Celui dont on parle ici, est le client d'un hôtel de passe, victime d'un grave oubli. En effet, nos sources qui donnent l’information, expliquent que très tard dans la nuit du samedi 23 décembre 2015, le client en question, dont voulons taire son identité, se présente à la réception d'un bien chic petit hôtel, assez discret. Le genre bien placé pour faire les 400 coups. C'est au quartier « Maroc », dans la commune de Yopougon. En sa compagnie, une jeune dame aux formes plantureuses. Sa camisole retient difficilement deux énormes seins, qui ressemblent à des bombes à retardement et qui donnent envie d'en faire un tranquille oreiller. Son croupion de tonnerre, prêt à faire craquer la chaîne de sa jupe qui souffre sous son poids, remue dans un mouvement dans le genre « montez-descendez ». Un véritable spectacle, qui très rapidement, peut modifier la configuration du bas-ventre d'un mâle. Un mâle à qui il sera impossible d'imposer la discipline et le calme à son ''engin''. Et cette femme, vicieuse à souhait, semblait le savoir, qui souriait non sans claquer dans la bouche, un chewing-gum « Tarzan ». En tout cas, tout cela faisait des effets. Et l'homme, venu en sa compagnie, s'en délectait. Il était même pressé qu'une chambre leur soit attribuée, pour aller faire allégeance à cette bombe sexuelle.

Une fois la chambre obtenue, le couple disparaît rapidement dans la pièce.

On imagine l'homme agrippé au postérieur de sa dulcinée, la tête sur le côté, les yeux à demi-ouverts et la langue pendante de plaisir, en train de faire parler la puissance de ses reins. Ceux qui, peu après, sont passés devant la chambre, ont dit avoir entendu des gémissements de dingues. Quelle affaire ! Environ une heure après, on voit le couple ressortir de la chambre et s'en aller furtivement. Et le sourire qui laisse transparaître la dentition fournie du client, fait clairement comprendre, toute la satisfaction de ce dernier. Après donc le départ du couple, l'une des employés se rend dans la pièce, pour y faire le ménage. C'est-à-dire apprêter la chambre pour d'éventuels clients. Mais au moment où elle effectue ce job, non sans éprouver un mal fou à faire disparaître un préservatif usagé résistant aux flots d'eau libérée par la chasse d'eau, son regard se fige. Notamment, sur l'un des tiroirs du lit. Elle approche et y découvre une arme à feu. Une arme oubliée par le client qui vient de s'en aller de la chambre. Elle alerte aussitôt K.G., le gérant de l'hôtel. Ce dernier qui s'imprègne des faits, saisit à son tour la police. Des agents arrivent sur place, pour le constat d'usage. Et eux, s'y connaissant en armes, notent qu'il s'agit d'un pistolet automatique de marque Mab P15. C'est le type d'arme dont est dotée la Police nationale. L'arme en question est convoyée au commissariat de police dans le cadre de l'enquête. En attendant, on s'interroge sur les qualités du client de l’hôtel qui dans son euphorie sexuelle, a oublié le pistolet. Est-ce un agent de police ? Ou au contraire, un de ces individus que personne ne veut croiser sur son chemin ? On attend d'en savoir plus. Mais qu'est-ce que le plaisir sexuel peut « mélanger » la tête d'un homme, au point qu'il oublie l'inoubliable !

KIKIE Ahou Nazaire

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